Avez-vous besoin de soutien en tant que patient ou en tant que proche ? Ou souhaitez-vous aider notre organisation à se développer ? Contactez-nous. 

80%

près de 80% estiment que les personnes atteintes d'un cancer du poumon ont davantage besoin d'un soutien psychologique. En outre, 76 % des Belges sont d'avis que les proches des personnes atteintes d'un cancer du poumon devraient également bénéficier d'un soutien psychologique nettement plus important. Ce constat clair met en évidence la reconnaissance des défis émotionnels et psychologiques auxquels sont confrontés les patients et leurs proches.

En sensibilisant et en partageant des informations avérées, nous mettrons ensemble le cap vers un avenir plus sain.

1/3 près d'un Belge sur trois admet franchement qu'il considère que le cancer du poumon est (en partie) de sa faute. Il est vrai que le tabagisme constitue un facteur important et qu’il est souvent lié au cancer du poumon, mais il existe d'innombrables autres causes possibles. Toute personne ayant des poumons peut développer un cancer du poumon. Parfois, c’est simplement une question de malchance.

1/3

Kristien

"

Oui, j’ai fumé. Et alors?"

Leo

"

C’était en 2009, mais je sais encore très bien qui m’a envoyé un message à l’époque."

67%

67% des Belges ignorent comment réagir lorsqu'une personne de leur entourage est confrontée au diagnostic du cancer du poumon. Cette incertitude pousse près de la moitié des personnes à ne rien dire ou faire, par peur de commettre une maladresse. Néanmoins, offrir un soutien et « être là », tout simplement, représente une aide inestimable pour la personne concernée. Consultez ‘conseils de soutien’ pour de nombreux conseils pratiques sur la manière dont soutenir un patient dans cette période difficile en tant que proche.

41%

41 % des Belges ignorent que le cancer du poumon peut (dans de nombreux cas) être stabilisé. Alors qu'environ 20 % des patients masculins et 30 % des patients féminins qui surmontent un cancer du poumon sont encore en vie cinq ans après le diagnostic. Il s'agit donc de la forme de cancer la plus mortelle en Belgique. Les Belges le savent très bien : près de 2 Belges sur 3 (64 %) le mentionnent.

Il est toutefois important de savoir que le cancer du poumon a des formes et des grades différents. Le traitement et les chances de récupération dépendent énormément du stade auquel se trouve le patient. Ce point souligne l'importance cruciale d'un diagnostic précoce, par le biais d'un dépistage préventif des groupes à haut risque, par exemple, et augmente les connaissances et la sensibilisation générale à cette question, ce qui peut réellement contribuer à un changement positif.

Pour soutenir la campagne contre le cancer du poumon, une étude a été menée sur le ressenti de la société à l’égard du cancer du poumon en Belgique. L'enquête en ligne a été réalisée en août 2023 auprès de 1000 Belges, représentatifs en termes de langue, de sexe, d'âge et diplôme.

Cancer du poumon ?
Pas étonnant.

Votre réaction non plus. Mais Dorine n’a pas eu de chance.

 Les patients ont besoin de votre soutien, pas de votre jugement. 
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80%

près de 80% estiment que les personnes atteintes d'un cancer du poumon ont davantage besoin d'un soutien psychologique. En outre, 76 % des Belges sont d'avis que les proches des personnes atteintes d'un cancer du poumon devraient également bénéficier d'un soutien psychologique nettement plus important. Ce constat clair met en évidence la reconnaissance des défis émotionnels et psychologiques auxquels sont confrontés les patients et leurs proches.

La stigmatisation entourant le cancer du poumon et du mésothéliome pleural, ainsi que le cancer en général, a un impact sur différents aspects tels que le psychologique, le social, le professionnel et le financier.

Kristien

"Oui, j’ai fumé. Et alors ?"

Leo

" C’était en 2009, mais je sais encore très bien qui m’a envoyé un message
à l’époque."

1/3 près d'un Belge sur trois admet franchement qu'il considère que le cancer du poumon est (en partie) de sa faute. Il est vrai que le tabagisme constitue un facteur important et qu’il est souvent lié au cancer du poumon, mais il existe d'innombrables autres causes possibles. Toute personne ayant des poumons peut développer un cancer du poumon. Parfois, c’est simplement une question de malchance.

1/3

67% des Belges ignorent comment réagir lorsqu'une personne de leur entourage est confrontée au diagnostic du cancer du poumon. Cette incertitude pousse près de la moitié des personnes à ne rien dire ou faire, par peur de commettre une maladresse. Néanmoins, offrir un soutien et « être là », tout simplement, représente une aide inestimable pour la personne concernée. Consultez ‘conseils de soutien’ pour de nombreux conseils pratiques sur la manière dont soutenir un patient dans cette période difficile en tant que proche.

67%

41 % des Belges ignorent que le cancer du poumon peut (dans de nombreux cas) être stabilisé. Alors qu'environ 20 % des patients masculins et 30 % des patients féminins qui surmontent un cancer du poumon sont encore en vie cinq ans après le diagnostic. Il s'agit donc de la forme de cancer la plus mortelle en Belgique. Les Belges le savent très bien : près de 2 Belges sur 3 (64 %) le mentionnent.

Il est toutefois important de savoir que le cancer du poumon a des formes et des grades différents. Le traitement et les chances de récupération dépendent énormément du stade auquel se trouve le patient. Ce point souligne l'importance cruciale d'un diagnostic précoce, par le biais d'un dépistage préventif des groupes à haut risque, par exemple, et augmente les connaissances et la sensibilisation générale à cette question, ce qui peut réellement contribuer à un changement positif..

41%

Pour soutenir la campagne contre le cancer du poumon, une étude a été menée sur le ressenti de la société à l’égard du cancer du poumon en Belgique. L'enquête en ligne a été réalisée en août 2023 auprès de 1000 Belges, représentatifs en termes de langue, de sexe, d'âge et diplôme.

 Les patients ont besoin de votre soutien, pas de votre jugement. 

Votre réaction non plus. Mais Dorine n’a pas eu de chance.

Cancer du poumon ?
Pas étonnant.

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